Politique : le business au nom du peuple

Après Paul Biya, Fru Ndi, Bello Bouba, qui ont déjà été compris comme dit l’artiste, Maurice Kamto semble hésitant sur les bords, Cabral Libi’i s’est empressé de sécuriser une vie à l’abri du besoin pour ne plus avoir faim comme il le dit dans une vidéo qui a circulé dans les réseaux sociaux. La question se pose dès lors de savoir si les Camerounais ne sont pas dans un cycle infernal, un éternel recommencement entre les mains de vendeurs d’illusions qui se présentent avec le temps sous diverses facettes, mais avec le même objectif : faire leur business, avec le nom du peuple ?